Ancien Rakoszyce
En cherchant des photos de l'ancien Rakoszyce, je les ai trouvées sur le site polska-org.pl (anciennement dolny-slask.org.pl). Parmi eux, il y a, entre autres, la photographie de notre école. Peut-être que certains d'entre vous ont réussi à trouver d'autres vieilles photos de votre ville. Essayons de les chercher, peut-être pouvons-nous encore découvrir quelque chose de vraiment intéressant.
Vous trouverez ci-dessous une galerie de photos de polska-org.pl .
PS La galerie a également été mise à jour avec des illustrations provenant d'autres sources.
Histoire du village de Rakoszyce
Rakoszyce est un village à plusieurs routes situé à environ 10 km au sud-est de Środa Śląska. Rakoszyce appartient à la commune de Środa Śląska, département Średzki, province de Dolnośląskie, anciennement province de Wrocław. Environ 773 habitants vivent ici. Rakoszyce est situé dans la plaine de Silésie. La situation géographique est également connue : 51°6' de latitude nord et 16°40' de longitude est.
Au XIIIe siècle, le chevalier polonais Radaco était le propriétaire des biens locaux. Rakoszyce a été nommé d'après lui. Le nom changeait - d'abord ce fut Radacowicz, puis Racowicz, Racwiz, Ragschiz, Rakschitz et Rackschütz. En 1324, Rakoszyce tomba aux mains de l'Allemand von Falckenhayn, von Lest, dont il était le dernier descendant mâle de Hans Christoph von Lest qui mourut en duel avec son beau-frère (poignardé), comme en témoigne un plaque de pierre bien conservée avec une inscription à l'église. Jusqu'en 1834, Rakoszyce appartenait à la famille von Debschütz, puis à la famille von Stoesser, et passa aux mains de la famille von Kramst de Chwalimierz. Georg von Kramsta était connu pour ses activités sociales et caritatives, il a fondé un hôpital à Środa et une église à Rakoszyce. Après sa mort en 1901 les marchandises passèrent entre les mains de son fils Hans Georg von Kramst. Dans la partie sud-est du village, il y a un complexe de manoirs. Dès le début du XVIIIe siècle, la propriété change fréquemment de propriétaire, le plus souvent par mariage des filles. Des mains de Falkenhan - Buchow, il passa aux von Lesses, puis aux von Dobchütz, de 1838 aux von Stoessen, puis aux Mannas, et enfin il fut inclus dans le majorat des von Kramst de Chwalimierz.
Dans les années 1970, dans la partie sud du village, à l'ouest de la route de Świdnica Polska, un lotissement pour les ouvriers agricoles appartenant à l'État a été construit selon des conceptions typiques en panneaux préfabriqués. Le domaine se compose de huit blocs d'appartements avec 126 appartements. En 1984, un centre de santé a été construit à côté du domaine, également selon une conception typique.
Dans le village il y a une église branche de St. Jean Népomucène, construit dans la seconde moitié du XIXe siècle (1890/91 - fin de la construction de l'église, 1893 - le clocher a été ajouté). Grâce aux habitants de Rakoszyce et du diocèse de Wrocław, il a été agrandi en 1993.
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VOIES ET MOYENS DE COMMUNICATION
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L'un des plus hauts sommets des environs de Rakoszyce est le mont Latosa (anciennement Burkenberg - qui signifiait la montagne des bouleaux). Sa hauteur est de 160,7 m.
L'ensemble du village s'élève à une hauteur de 145 à 169 mètres d'altitude. colline de jenkowice (ou un autre nom - montagne de moulin à vent). Malheureusement, en 1926, il a été démoli pour des raisons inconnues. Depuis le début de l'existence du village, le réseau routier n'a pas changé, seul le revêtement a été amélioré au fil du temps. Les habitants les plus âgés se souviennent qu'il s'agissait de routes asphaltées et pavées. Une route provinciale traverse Rakoszyce.
Il y a de nombreux arrêts de bus dans le village. Le premier arrêt a eu lieu dans les années 1950, auparavant les gens se rendaient dans les villes voisines en charrettes. Depuis 2000, en plus de la ligne PKS, un transport privé (microbus) a été ajouté pour prendre en charge l'itinéraire Środa Śląska - Kąty Wrocławskie. Jusqu'en mars 2001, le bureau de poste le plus proche se trouvait à Świdnica Polska, puis à Środa Śląska. Dans le passé (données d'environ 1933), les communications postales étaient assurées par un véhicule postal, qui parcourait la route Kąty Wrocławskie - Środa Śląska et retour deux fois par jour.
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VIE SOCIALE ET CULTURELLE
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Sur la base des données de 1933, nous apprenons que les organisations suivantes existaient à Rakoszyce avant la guerre :
Union militaire
syndicat du peuple
service d'incendie volontaire
Organisation de tournage
Organisation des femmes
Organisation des filles allemandes
choeur évangélique
Organisation évangélique de jeunes filles
Le syndicat des apiculteurs
syndicat des agriculteurs
Jusqu'en 1996, le Cercle des ménagères rurales était actif.
Actuellement, le GRT est actif.
Il y a une école primaire à Rakoszyce. Les enfants apprennent dans deux bâtiments (le plus ancien du 20ème siècle et le nouveau construit dans les années 1990). L'ancienne école a été construite en 1935. Le bâtiment était d'un étage, en briques, plâtré, avec un toit soutenu sur un pilier créant une arcade, plus tard bâtie et vitrée.
Le 9 février 1945, l'école est fermée en raison des hostilités. Après les combats, il y avait des traces de balles sur le bâtiment. En 1946, des enfants de Rakoszyce et des villages environnants fréquentaient une école à Świdnica Polska.
En 1947, l'école de Rakoszyce est rouverte dans un bâtiment emprunté au village. L'école a été rouverte grâce à Teresa Danowska (plus tard Zmioch), qui était la seule enseignante de cette école. A cette époque, c'était une école de 4e année fréquentée par 57 enfants. Il y avait une bibliothèque dans l'école (environ 50 volumes), et le village comptait alors 255 habitants (soit 3,5 fois moins qu'aujourd'hui).
En 1951, un scoutisme est organisé pour la première fois dans les locaux de l'école. En 1984, le Comité social pour l'expansion des écoles a été créé. A cette époque, le directeur de l'école était Henryk Graboń. En 1985, la construction a commencé et en décembre 1992, le nouveau bâtiment a été mis en service. C'était une école de 7 ans et en 1999 un gymnase a également été créé. Dans les années 1993-4, l'école a reçu un laboratoire informatique. Aujourd'hui, 157 élèves étudient à l'école (2001), 90 élèves au collège.
Après la guerre, la vie sociale et culturelle a commencé à se développer rapidement.
Le premier maire était Józef Latos (la colline près de Rakoszyce porte son nom).
Le premier conseiller était Czesława Kusa, qui s'est battu pour reprendre les activités de l'école, était actif (20 ans) dans le club des femmes au foyer rurales. A cette époque, la salle commune était située au carrefour puis derrière le cimetière. Il y avait beaucoup de fêtes et de soirées dansantes, de mariages, de festivals de récolte, de cinéma itinérant, de théâtre, etc.
Beaucoup d'informations intéressantes ont été conservées à ce jour grâce au professeur d'allemand Wilhelm Hoffman, qui vivait à Rakoszyce, qui a décrit l'endroit en détail dans un livre publié en 1933. On apprend qu'à cette époque Rakoszyce était habitée par 489 habitants ( 232 hommes et 257 femmes), dont 394 évangéliques et 95 catholiques. 125 fermes appartenaient à 800 ha, dont :
175 ha de seigle
100 ha de blé
35 ha d'orge
85 ha d'avoine
42 ha de forêts
10 hectares de jardins
13 ha de surfaces d'habitation (cours)
120 ha de pommes de terre
50 ha de betterave sucrière
15 ha de betterave fourragère
45 ha de trèfle, luzerne
5 ha de légumineuses
50 ha de prairies
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Données sur la possession d'animaux de ferme, de chiens et d'abeilles :
1er décembre 1932
16 juin 1933
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164 ruches
45 chiens
254 oies
118 canards
1247 poules
91 chevaux
525 porcs
392 têtes de bétail (dont 171 vaches)
47 chèvres
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A cette époque, les habitants possédaient 1 voiture de tourisme et 10 motos. La plus grande usine de la ville était la distillerie, qui pouvait produire jusqu'à 250 000 litres d'alcool par an. Il y avait aussi un stand de tir à Rakoszyce.
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Au nord-est du village, sur la route de Pustynka, se dressait une potence, plus tard une croix de bois. Il y avait aussi des monuments naturels intéressants à Rakoszyce :
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Le peuplier de Napoléon - un arbre énorme et grand qui poussait à l'entrée du village par la route de Kulin, nous rappelait la marche des troupes de Napoléon. Le peuplier était alors visible à partir de mercredi. Lors de la construction de la route Rakoszyce - Kulin, elle a été coupée, auparavant endommagée par la foudre.
Chêne d'Hitler - planté le 1er mai 1933. devant l'église évangélique en l'honneur du chancelier - Adolf Hitler
Un rocher de Scandinavie, transféré pendant la période glaciaire, découvert lors d'un voyage scolaire le 25 mars 1930. Il est situé dans la partie orientale de la forêt de Kuliński. Il mesure 2,5 mètres de haut et 3,5 mètres de circonférence et pèse 600 quintaux (1 quintal = 40,55 kg) C'est du granit rouge suédois. Malheureusement, malgré les efforts des écoliers, le rocher n'a pas été retrouvé.
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Dans l'ensemble seigneurial se trouvaient des bâtiments de ferme : dépendances, écuries, étables et granges de la fin du 19e et du début du 20e siècle, en briques, crépis, à un et deux étages avec des toits à deux versants. Au moment de l'utilisation par les fermes d'État, les étables et les granges étaient encore utilisées pour le même usage, tandis que les écuries étaient reconstruites et les soi-disant un bâtiment social, qui abritait une cantine, des chambres d'hébergement et deux salles communes. Dans les années 1989-92, il y avait aussi une division de classe "0".
Source : "Historia Rakoszyc" publié en 2001 par des enseignants et des élèves du collège de Rakoszyce
(Copié de Rakoszyce.pl )
Commune de Rakoszyce
La commune de Rakoszyce, ancienne commune rurale, existant dans les années 1945-1954 dans la voïvodie Wrocław (aujourd'hui Voïvodie de Dolnośląskie). Le siège des autorités communales était Rakoszyce.
La commune de Rakoszyce a été créée après la Seconde Guerre mondiale dans le domaine de la soi-disant Territoires récupérés (le soi-disant district administratif II - Basse-Silésie). Le 28 juin 1946, la commune - en tant qu'unité administrative du poviat de Średzki - est devenue une partie de la voïvodie nouvellement créée Wroclaw.
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Au 1er juillet 1952, la commune se composait de 15 grappes :
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Budziszow,
Chwalimierz,
Gozdawa,
Jakubkowice,
Jugowiec,
Juszczyn,
Kryniczno,
Kulin,
Rakoszyce,
Samsonowice,
Siemidrożyce,
Szymanowice,
Świdnica Pologne,
Wilkow,
Wojczyce
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La kehilla a été abolie le 29 septembre 1954, accompagnée d'une réforme introduisant des clusters à la place des communes. L'unité n'a pas été restaurée le 1er janvier 1973 avec une autre réforme réactivant la commune, et son ancienne zone a été incluse principalement dans la nouvelle commune de Środa Śląska.
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Source : Wikipédia
Récupéré de : Rakoszyce.pl
Histoire de l'Église catholique
Fondateur : Georg von Kramsta de Chwalimierz. Conception : Félix Henry.
L'église est dans le style de la Néo-Renaissance hollandaise. Orientale, à nef unique avec un presbytère pentagonal et une tour à contreforts en diagonale de l'ouest, brique face à brique. Un toit à deux versants sur la nef, un à cinq pans sur le presbytère, une flèche octogonale sur la tour, recouverte de tôle. La flèche est surmontée d'un pinacle avec une boule et une croix. Il y a aussi une croix sur le mur, dépassant du toit du côté du choeur. Dans les coins de la tour, il y a des projections en quart de cercle. Les fenêtres sont fermées par un plein cintre encadré de clefs de voûte. Corniches de couronnement. Trois pierres tombales du XVIIe siècle sont incrustées dans les murs extérieurs de l'église. von Falkenhayn et von Gentreich. Équipements d'église des XIXe et XXe siècles. Autour de l'église, il y a un cimetière clôturé (informations périmées) avec une clôture en acier ajourée moderne. Plusieurs pierres tombales du XIXe et du début du XXe siècle y ont survécu.
A l'ouest de l'église, une chapelle funéraire avec murs :
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Épitaphe de Carl Christoph von Lest de la seconde moitié du XIXe siècle.
Deux assiettes à reliefs en pleine figure d'un homme et d'une femme d'époque Renaissance
Dans le coin ouest du cimetière se trouve une croix pénitentielle maltaise 71 x 77 x 32 cm en granit.
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Le siège du bureau paroissial est Kulin.
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Auparavant, l'office du curé était exercé à partir de 1946 :
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Fr. Adam Dziedzic
Fr. Stanislaw Kotoski
Fr. Cyprien Świątek
Fr. Romain Kojder
Fr. Bolesław Kostka
Fr. Edward Tużnik
Fr. Edward Ogrodowicz
Fr. canon Ryszard Cyman
Fr. Andrzej Plewa
Fr. Andrzej Lignar
Fr. Leszek Woźny
Fr. Mieczyslaw Kinaszczuk
Fr. Paweł Stypa
A l'est de l'église se trouve un bâtiment (anciennement occupé par les pompiers volontaires) en forme de rotonde de la fin du XXe siècle. En brique, enduit, avec un toit conique surmonté d'un pinacle avec une boule.
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Source : Rakoszyce.pl
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Kościół. Widok współczesny
Histoire de l'Église évangélique
La guerre et l'après-guerre ont empêché la construction d'un nouveau bâtiment scolaire, il n'a donc été construit qu'en 1935. Le 14 octobre 1901, la construction de l'église a commencé. Les briques et les tuiles provenaient de la briqueterie de Chwalimierz et les blocs de granit des carrières de Strzegom. Les travaux de construction ont été réalisés par l'entreprise de construction "Freytag" de Wrocław. Les travaux de toiture ont été réalisés par un habitant de Rakoszyce Berneis, une partie des travaux de menuiserie à l'intérieur a été réalisée par un menuisier de Rakoszyce Kluge. L'orgue avec quatorze voix a été fabriqué par la société Schlag et fils de Świdnica. Les cloches étaient fabriquées à Bochum (Ruhr District), elles avaient un diamètre de 1,124 m, 0,890 m, 0,758 m et un poids de 610 kg, 300 kg et 200 kg. Les coûts de construction s'élevaient à environ 92 000 marks. Les 2/3 des frais ont été supportés par le fondateur Georg von Kramsta, le reste a été supporté par les fidèles. Le 13 avril 1902, la première pierre est posée solennellement. Malheureusement, le fondateur G. von Kramst n'a pas vécu pour voir cet événement. Le 2 août 1903, le pasteur Stelzer fit une consécration solennelle, pour laquelle l'Impératrice fonda une magnifique Bible avec une dédicace personnelle. L'autel, la chaire et les fonts baptismaux provenaient encore de l'ancienne église. Le tableau sur l'autel "Le Christ au mont des Oliviers" a été peint par la comtesse Waldersse du voisin Sikorski.
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L'église était équipée de :
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chauffage central
éclairage électrique
500 places
une tour de 50 mètres de haut.
C'était la seule (?) Église de tout le territoire de la Basse-Silésie. Il y avait trois chœurs au centre, le premier avait la taille de toute l'église, le second était plus petit et le troisième était l'orgue. Pendant la Seconde Guerre mondiale, une balle a touché l'église. La tour a été renversée et il y avait un trou de balle dans le dôme. La population locale a voulu rénover l'église, mais le conseil communal n'a pas donné son accord. Si le curé de Kulina l'avait ordonné, il n'aurait pas été démantelé. Cependant, c'était une église évangélique, donc le curé et les catholiques n'avaient pas le droit de décider de son sort. Le conseil a engagé une équipe de constructeurs pour la démolition. A la nouvelle de la démolition, les villageois se sont rassemblés à l'église. Ils frappaient des casseroles et des poêles, il y avait des bagarres. L'Église était défendue de toutes les manières possibles. Beaucoup ont été arrêtés. Malgré une forte résistance, il a été renversé. Les briques ont très probablement été emportées dans le centre de la Pologne. Il y avait un tunnel souterrain dans l'église menant à Chwalimierz (?).
Un vampire du palais de Rakoszyce
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A Rakoszyce, en direction de Budziszów, à quelques dizaines de mètres derrière l'église, on aperçoit sur la droite un bâtiment discret caché derrière des arbres. Il est à l'abandon depuis de nombreuses années, et l'on sait ce qui attend l'objet qui a longtemps été dévasté et dont l'état se dégrade chaque année. C'est un palais à Rakoszyce.
Quiconque vient ici ne remarquera rien de notable, et cette impression sera renforcée par sa forme inintéressante de bloc carré et de douilles de fenêtre vides. Cependant, cet objet est assez intéressant en termes d'histoire et d'architecture, qui peuvent être vus par des touristes plus perspicaces. Le village de Rakoszyce est mentionné dans des sources dès 1301. On ne sait pas exactement quand il y avait un palais ou un manoir ici, la première mention que je connaisse remonte au 17ème siècle, mais le bâtiment a peut-être existé ici bien plus tôt. Cette propriété a eu de nombreux propriétaires. Au 15ème siècle, ils étaient gouvernés par von Falkenhayn - Buchow, au 16ème siècle par von Lest, à partir du milieu du 18ème siècle. jusqu'en 1837, le propriétaire était Nickel Otto Ferdinand von Debschϋtz. Dans les années suivantes, les familles von Stoessen et Mann sont mentionnées. Finalement, il a été inclus dans le majorat von Kramst et est resté entre ses mains jusqu'en 1945. Après la guerre, le bâtiment n'a pas eu beaucoup de chance, mais il n'a pas été démoli. Immédiatement après la fin de la guerre, son état était terrible, presque tout a été volé. Il a traversé plusieurs incendies dans ses dernières années. Plusieurs rénovations y ont été effectuées, contrairement aux recommandations du conservateur, dont on peut maintenant constater l'effet. Son aspect actuel remonte aux environs de 1800, lorsque Nickel Otto Ferdinand von Debschϋtz reconstruisit un ancien palais du XVIIe ou du XVIIIe siècle, dont des fragments sont encore conservés aujourd'hui, comme deux salles voûtées en berceau dans la partie nord-ouest et une partie du caves. L'édifice était construit en pierre d'ardoise, il possédait autrefois un toit en croupe recouvert d'ardoise et une façade riche en ornements. Il convient de mentionner qu'il était autrefois entouré d'un fossé, qui a été comblé dans les années 1970. Son fragment a été conservé à proximité comme une piscine envasée. Il y a aussi un pont qui menait au palais. De nombreux autres éléments historiques ont été conservés dans le bâtiment, comme un encadrement de porte en grès ou un fragment de cheminée à l'intérieur, ou plutôt un trou dans le mur laissé par ses éléments de pierre volés, un bas-relief d'Atlas tenant le sol . Ces vestiges témoignent de son ancienne gloire. À son tour, dans le parc voisin, il y avait un obélisque dédié à Nickel Otto Ferdinand von Debschϋtz, l'un des landrats du poviat d'Środa. Le bâtiment appartient actuellement à l'Agence agricole et est sans aucun doute l'un des monuments les plus précieux du village. Sera-ce un autre monument historique qui disparaîtra des cartes de notre poviat ?
Qui était le repaire là-bas ?
Il y avait des légendes sur ce palais comme l'un des rares du poviat. Selon les légendes, il a été construit au XIIe siècle, et son emplacement et ses environs indiquent qu'il s'agissait autrefois d'une forteresse sur l'eau. Par conséquent, avant la guerre, il était censé avoir un passage souterrain secret menant à l'une des collines environnantes appelée Birkenberge. Cependant, il s'est effondré car il était assez vieux et non entretenu. Il y a de nombreuses années, le château appartenait à M. von Lest, que le peuple appelait Lask. Von Lest a dû mourir dans un duel, qui doit être documenté, et est enterré dans le cimetière catholique de Rakoszyce. Il était très cruel, il opprimait ses sujets sans pitié et se vengeait même après la mort. Il est apparu dans le château à minuit, ne laissant aucun repos aux gens qui y vivaient. Après un certain temps, les habitants ont décidé de se débarrasser de la goule. Ils ont conseillé que le cercueil avec Lest soit déterré et emmené loin dans la forêt et enterré à nouveau. Ils l'ont fait aussi. Ils ont chargé le cercueil sur une charrette à bœufs, mais dès qu'ils ont commencé à bouger, la figure du défunt von Lest est apparue dans la fenêtre supérieure du château, leur disant: "Ne traitez pas mal les bœufs." Après ces mots, les bœufs s'arrêtèrent comme s'ils ne pouvaient plus tirer le chariot. Six autres bœufs ont été attachés, mais le cercueil n'a été transporté qu'au début de la forêt connue sous le nom de forêt de Laski. Là, les villageois ont enterré le seigneur monstrueux et depuis lors il a cessé de hanter les habitants du château. La légende dit que lorsque quelqu'un se retrouve sur le lieu de son enterrement à minuit, il sera perdu, il ne quittera jamais la forêt, car il ne retrouvera pas le chemin du retour. Cette légende, comme beaucoup d'autres, recèle une part de vérité. Von Lest a vécu à Rakoszyce et il y a encore aujourd'hui une pierre tombale dans l'église locale. L'application présentée est l'une des rares histoires de vampires du quartier, bien qu'elle ne parle pas de sucer du sang, elle contient des éléments typiques des histoires de vampires.
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Source : Gazeta "Roland" n° 11 novembre 2004, auteur de l'article : Marek Włodarczyk
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Jeszcze jedną, bogato ilustrowaną relację możemy znaleźć na portalu Nieustanne wędrowanie: https://nieustanne-wedrowanie.pl/palac-w-rakoszycach/. Warto się z nią zapoznać. Poniżej jej fragment.
Nieustanne wędrowanie
[...]
Pałac w Rakoszycach w rękach von Lesta
O tym właścicielu dóbr w Rakoszycach od wieków niesie się upiorna jego sława. Żeby nie było niejasności, Carl Christoph von Lest to postać autentyczna. Epitafium z jego danymi znajduje się na terenie rakoszyckiego kościoła, i kto chce, może tam przybyć i zobaczyć je na własne oczy. To właśnie z tej płyty grobowej wiemy, że von Lest urodził się w październiku AD 1610. Mając 42 lata, ożenił się z Urszulą z Falckenhaynów z Rakoszyc. Kiedy Ula zmarła, wziął sobie drugą żonę – Marię Elżbietę od Braunów z Komornik. Z drugą małżonką miał dzieci. Syna i córkę. Carl von Lest zmarł w czerwcu 1681 roku. Poległ podczas pojedynku. Więcej z płyty grobowej przeczytać nie możemy. A szkoda, bo byłoby o czym wspominać. Lest zapisał się w tej lokalnej historii jako upiór z piekła rodem. Jako ciemiężca bez litości i serca…
„To nie baśń, że to kawał dziada był…”
Tak skomentował tę postać mój znajomy, podczas jednej z dysput na jego temat. Nawet teraz, kiedy przybyłam do Rakoszyc po fotografię jego epitafium, zabarykadował się złośliwy dziad jeden. To oczywiście taki żarcik, jednak pisano już o nim w kronikach od 1677 roku, jak to po wizytacji z biskupstwa uradzono, że należy znaleźć sposób na zmuszenie Lesta do wyłożenia środków na kościelny remont. Najwyraźniej nie był zbyt chętny, skoro taka o to walka wtedy z klerem była. Bał się prawdopodobnie wody święconej i na ofiarę nie chciał dać. W tym samym roku chłopi z pobliskiej wsi, na piśmie skarżyli się, że Lest i panowie z Gozdawy po polach na koniach polowania sobie urządzali i szkody straszne im w plonach robili…
Tyran z Rakoszyc. Historia prawie prawdziwa
No prawie, ponieważ od tamtego czasu minęło, jak by nie patrzeć, prawie 340 lat. Żeby tropić taką historię, to naprawdę trzeba mieć wyobraźnię. Nie sposób w stu procentach ogarnąć legendy, która przez stulecia powtarzana była wielokrotnie i z całą pewnością zniekształcana. Jednak pewne rzeczy pozwalają się namierzyć, a nawet dotknąć. Posłuchajcie…
Von Lest zamieszkiwał zamek w Rakoszycach, który otoczony był wówczas wodą. Panował na tej ziemi z okrucieństwem, nie znając litości dla chłopów. Wymierzał surowe kary, zamykał tych biedaków w lochu. Gnębił lud tej ziemi niemiłosiernie. Jego rządy były straszliwym czasem dla mieszkańców wsi w tamtym okresie. Kiedy zmarł śmiercią tragiczną, pojedynkując się, tutejsza ludność odetchnęła z ulgą. Pochowano go na cmentarzu przykościelnym. Von Lest jednak nie zaznał spokoju po śmierci. Po zmroku ukazywał się w zamku, a także nawiedzał mieszkańców Rakoszyc. Szczególnie tych, z którymi wcześniej miał najwięcej do czynienia. Nie wystarczało mu, że za życia czynił im zło, mścił się nadal z zaświatów.
Pałac w Rakoszycach i upiorny karawan
Wtedy to uradzono, jak się upiora pozbyć z Rakoszyc. Nocą kilku śmiałków poszło na cmentarz i wykopali Lesta z ziemi. Trup jeszcze się nie rozsypał, ale już konkretnie cuchnął. Trumna nie była przegniła, więc wyjęli ją razem z ciałem i zapakowali na wóz, który miały ciągnął dwa woły. Planowano wywieźć denata daleko do lasu i tam zakopać, aby nie mógł znaleźć drogi do domu i przestał nękać żywych. Upiorny ten karawan ruszył w obraną stronę, mijając zamek Lesta. Wtedy to w oknie warowni ukazała się postać demona. Wychylił się i wyciągnął w ich kierunku zaciśniętą pieść. Krzyknął przeraźliwie: „Nie batożcie wołów!”. W tamtej chwili zwierzęta natychmiast stanęły jak wryte i nie chciały ruszyć dalej. Opierały się batożeniu i nie ruszyły nawet o krok. Sprowadzono więc kolejne i dopiero w sile ośmiu zwierząt pociągnięto wóz do lasu. Z każdym krokiem jednak ten przerażający ładunek stawał się coraz cięższy. Zwierzęta nie miały siły ciągnąć jednego ciała, jakby jego waga równa był kilku tonom.
Pałac w Rakoszycach i tajemniczy grób w lesie
Zatrzymano się więc w lesie, w miejscu gdzie zwierzęta kategorycznie odmówiły dalszej wędrówki. Wieśniacy wykopali dół w ziemi i zakopali tam upiora z Rakoszyc. Legenda głosi, że po tym incydencie von Lest zniknął na zawsze ze wsi, jednak każdy, kto przez przypadek zagubił się nocą w okolicy leśnej mogiły, tracił orientację, nie mógł znaleźć drogi do domu i mieszało mu się w głowie. Wielu nigdy nie powróciło do wioski.
No tak. Legenda legendą, ale w Rakoszycach ona nadal żywa, ponieważ ludzie mówili nam o niej, a kiedy pytaliśmy o miejsce pochówku Lesta, wskazywali na las. [...]